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Description des dommages

 

L’acte de la destruction israëlienne était long dans les diverses régions du Liban, mais il s’est concentré dans le sud du Liban en vertu des affrontements sur le terrain et a été intense et brutal ainsi que dans la banlieue sud de Beyrouth, sans avoir un homologue dans la guerre israélienne sur la région arabe.

Aucune région dans le monde n’a aperçu un conflit continu, tels que le conflit entre nous et les usurpateurs sionistes de notre terre en Palestine, Sinaï, le Golan et le sud du Liban. Ce conflit ne prendra pas fin avant la disparition de ce que l’on appelle «Israël», et le départ des sionistes de notre terre...

Ce conflit s’est incarné dans de nombreuses guerres, à commencer par le début du siècle dernier et continuer jusqu’aujourd'hui. Il a pris de nombreuses formes et de nombreuses méthodes, parfois elles peuvent être des guerres ouvertes, et parfois disparaissent et restent comme charbon sous la cendre. Après la catastrophe et la guerre d'Octobre, il y a eu l'invasion du Liban en 1982, qui est née de l’utérus de la population de la Résistance, infligeant de lourdes pertes à l'ennemi sioniste et brisant sa fourche, par conséquent, son «prestige», l’expulsant ainsi du sud du Liban en 2000, pour revenir en Juillet 2006 et le réattaquer violement en lançant des bombardements sur les villages du sud et de Sidon, de même, ses bombardements douloureux ont ciblé toute la banlieue sud de Beyrouth, et certaines parties de l'Ouest, du centre et du Nord de la Bekaa.

Mais cette agression qui a duré 33 jours, n'a rien apporté pour «Israël» que la déception l’une après l'autre, puisque la Résistance a démontré sa faisabilité et efficacité, et sa puissante pour vaincre l'ennemi, et le menacé dans sa propre maison qui n’est même pas à lui. Ce fut alors le triomphe de la Résistance, du Liban, ainsi était le triomphe de chacque personne libre dans le monde, convaincu qu’ «Israël» est l’ennemi de l'humanité toute entière.

L’agression de la guerre de Juillet s’est terminée, ainsi s’est révélé pour le public, le volume de la dévastation causée par les sionistes, en particulier dans la banlieue sud, puisque qu’aune des région, quartiers, ou rues de l'attentat n’a survécu, des bâtiments complètement détruits, les rues ont perdu leurs caractéristiques, et la scène de béton éparpillée en morceaux n’est traversée que par un réservoir d'eau ici, , ou une poupée d’une fille là-bas, ou un livre, ou les restes d'un placard ou d’un meuble.

L'agression s’est terminée, et une autre situation agressive s’est révélée, qui s’est manifestée par les accusations qui ont été assignées à la Résistance qui a apporté la destruction, la mort et la ruine, mais Résistance a réussi à vaincre l'ennemi, humilié et étirée, elle peut créer à partir de la destruction une construction, et de la mort une vie, et de la ruine ... une beauté.



Le lieu de la ruine:
Les ruines ont été intenses dans la banlieue sud, en particulier dans le cœur de Haret Hreik et les limites de la région ciblée par la destruction et qui sont les suivants:
- au Nord: le rond-poind de l’Aéroport – Avenue Ghobeiry - Mshrafieh - Mar Mikhael
- à l’Ouest: l’ancienne rue de l’Airport
- au Sud: La rue qui s'étend de l’Autoroute de Sayed Hadi vers la rue principale de Rweiss.
- à l’Est: l’Autoroute de Sayed Hadi Nasrallah

Quant à la région la plus destructive est celle à Haret Hreik, avec 540 mètres largeur et 720 mètres de longueur, ayant des limites sous la forme suivante:
- au Nord: Station Alama – Lycée Amical – Al Ettihad
- à l’Ouest: rue principale de Haret Hreik
- au Sud: Boulevard Hazmieh – l’Aéroport
- à l’Est: rue principale de Bir al-Abed

Enquête sur les dégâts:

Les dommages ont été identifiés comme suit:
- Les bâtiments détruits totalement et partiellement endommagées sont environ 1.300 bâtiments, y compris:
• Les bâtiments endommagés: 1019 bâtiments (restaurarion partielle, les interfaces, ...)
• Les bâtiments partiellement et totalement détruits: 281 bâtiments