Les volontaires sont venus de différentes régions libanaises et affiliations politiques, et des pays arabes, la Jordanie, l’Egypte, le Maroc, la Syrie, le Bahreïn et le Soudan, en tant qu'individus et équipes dèingénieurs spécialisées pour fournir l'aide. 650 architecte et ingénieur ainsi que 3000 volontaires ont répondu à l'appel, ainsi Jihad al-Bina a réussi de profiter de leur expertise et de les répartir dans les équipes travaillant en harmonie et intégration précis. Même si les institutions de l'Etat et les ONG et celles internationales n'ont pas débuté leur travail, le Jihad al-Binaa a réalisé plus de 60% de ce dossier, en mettant ses déclarations et statistiques telles qu'elles sont entre les mains des associations et institutions officielles pour en profiter.

Cette vitesse dans le travail de terrain, les enquêtes et les statistiques, étaient le centre d'attention du monde entier, en se tournant vers cette institution pour voir la poussièrequ'elle a secoué de ses centres et institutions, de meme, elle vivait dans les tentes et les quartiers afin de faciliter les affaires des gens. Ainsi puis Jihad al-Bina est devenue le matériel riche pour les journalistes, en particulier en Amérique elle-même, a mentionné par exemple, un article dans le journal (New York Times) qui parle cyniquement de la reconstruction qui s'est produite après l'ouragan "Katrina", et en comparant dans l'article la reconstruction avec celle qui s'est passé après la guerre de Juillet 2006, et demandant dans ce meme article du président americain Bush - le fils – que le Hezbollah livre la construction de tours, de la destruction et autres , ensuite l'article affiche ce que le Secrétaire Général du Hezbollah Sayyed Hassan Nasrallah a fait, comment il a promis les gens et la façon de l'initiation du processus de restauration et de construction? ...

Jihad al-Bina a pu une fois encore démontrer que par la volonté sincère et la bonne gestion, elle peut faire des miracles, et que ce grand peuple mérite d'etre servie et de se sacrifice pour lui. Quant aux stratégies d'intervention, elles ont été divisées en étapes:

• L'ouverture de routes pour les rapatriés et l'enlèvement des décombres.
• Paiement de l'indemnité de logement.
• Paiement de la restauration de compensation.
• Services de gestion de projet impliqué dans la restauration des bâtiments de la banlieue sud.
• Gestion de projet «Wa'ad» dans la banlieue sud.
• Préparation des dossiers d'évaluation technique des bâtiments touchés et délabrés.
• Paiement de la rémunération des équipes officielles.
• Le lancement de la relève agricole et le bétail.
• Coordination et coopération avec les donateurs au cours des phases de secours, de la réhabilitation et de développement à long terme.

Jihad al-Bina a travaillé sur l'achèvement de ces étapes en une seule fois, tenant compte principalement des priorités humanitaires, où Jihad al-Bina a pris la responsabilité de ne pas déplacer les personnes et de protéger leur dignité.