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Ici,
se trouve la Banlieue, où des années ont passé
sur l'ouragan qui l’a frappé. L'ouragan ne
ressemble pas à un «tsunami», mais ressemble
plus au type israélien. Après que la guerre de
Juillet 2006 a pris fin, l'ampleur de la
destruction massive laissée s’est révélée par
269 bâtiments dans la banlieue qui se sont
transformés en une poignée de poussière.
Cette zone adjacente à Beyrouth du côté sud, y
compris un certain nombre de villes de la côte
du sud-Metn (comme Haret Hreik, Ghobeiry, Borj
Barajneh, Chiyah, etc), qui a vu la croissance
démographique et urbaine stable pendant la
guerre civile libanaise, et en raison de la
migration vers cette dernière, de la part de la
population du sud du Liban et la Bekaa durant
les incursions israéliennes répétées et le
manque de sécurité, pour que cette banlieue
devenne rapidement une partie de la structure
sociale, économique et urbaine de Beyrouth,
ainsi que son entrée et la zone d'expansion
naturelle de la capitale.
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