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mokademe:
Les
gens dans ce monde admettent le fait que ce qui
a pris des années pour être construit n’a besoin
que de quelques minutes pour être détruit, et ce
qui a été détruit a besoin des siècles pour être
reconstruit, jusqu'à ce que ce dicton devînt un
proverbe.
Il y eut une institution qui a contredit ce
dicton, et ses travailleurs ont marché autrement,
ils ont été constructifs dans leur culture,
comme ils sont victorieux en eux-mêmes, ceux
sont les ingénieurs et les travailleurs de Jihad
al-Binaa.
Le dicton de la destruction massive et le besoin
des siècles afin de construire a disparue avec
l'histoire, et ceci à partir du 14 août 2006
après JC, la date qui planta dans l'histoire de
la civilisation des scènes inoubliables, où
l'étreinte des difficultés, et la montée des
défis avec des esprits élevés par leur hauteur
et intensité, ne sont pas moins que les
Chevaliers Victorieux les Hommes de Dieu sur
terre. Ce sont ceux qui se sont tenus fermes, et
ont pu en trente-trois jours frotter le nez des
sionistes et ceux derrière eux, ceux qui a gagné
la bataille des seconds partis, également comme
leur messager qui a remporté la bataille des
premiers partis, ils ont alors été un exemple
d'un immortel dicton: Toute la foi s’est révélée
à tout le piège.
Rarement qu’on puisse trouver des hommes comme
les homme de Jihad al-Binaa, des hommes qui ont
supporté les difficultés depuis que
l'institution de Jihad al-Binaa a été fondé, ils
construisaient ce que détruisait l'ennemi, et
enlevaient souvent les traces de l'agression en
vertu du bourdonnement des balles et le
vrombissement des avions. Pour le premier coup
d’œil vous pouvez croire qu'ils construisaient
le mur alors que la masse de poussière y montait
toujours, ils réparaient et construisaient avant
même que la guerre ne finisse, et avant l’arrêt
de la voix insupportable des canons, ils
devinrent l’idole des nombreux libres du monde
ainsi qu’un modèle terrifiant à l'ennemi, et par
leur panique et leur peur, leur haine et leur
envie ils les ont classés sur la liste du
terrorisme.
Jihad al-Bina a enregistré à l’humanité une
nouvelle école et une méthodologie unique, si
vous jetez un coup d’œil sur toutes les
expériences des nations, vous n’allez pas
trouver une semblable, une expérience qui a été
en mesure de contrôler l’inventaire
intellectuelle et le cerveau subliminal pour
ceux qui sont loin avant les proches.
Dans "New Orléans", un tremblement de terre
naturel s'est passé, ce qui a provoqué la
destruction des maisons et des magasins, et la
construction chez eux est devenue comme celle
des magasins. Les études américaines sont
restées confuses et sans succès, pour plus de
deux ans afin d’élaborer des plans de
restauration et de construction, ainsi que pour
la suppression de la destruction et la
dévastation ...
Au Liban, et que savez-vous du Liban, où la
poussière contestée a dévoilé des milliers de
maisons totalement détruites, et des dizaines de
milliers de maisons en besoin de réparation,
ainsi que pour les ponts et les installations
publiques, les routes et les arbres ... Une
destruction dont "Israël" a utilisé touts ses
stocks et ses missiles, intelligentes et
stupides, et elle a été contrainte d'ouvrir son
entrepôt stratégique et ses ponts aériens et
maritimes pour tous les supporters de près et de
loin.
L’agression a même touché les installations de
vie au Liban, et la plupart des régions étaient
celles en faveur de la Résistance, et parmi les
ciblages était l'économie et a frappé le
fonctionnement de sa communauté et sur son
propre environnement incubateur, dans le Sud et
la Bekaa et la banlieue sud, qui ont été touchés
par les différents secteurs économiques dans
l'industrie, l'agriculture, le commerce et le
tourisme, en partie ou en totalité, et il était
clair le ciblage des grandes usines et industrie,
même celles qui sont éloignées de la scène des
combats, en vue de blesser et causer des pertes
économiques le plus possible pour le Liban, en
particulier la communauté de la Résistance.
Une agression qui visait à changer la géographie
démographique du Liban, mais plutôt pour écraser
tous les groupes d'opposition et incubateur de
la Résistance, avec la complicité avec des
destinations domestiques qui travaillaient pour
capturer le pays et le dominer.
Une destruction qui a récolté dans le feu et la
fumée plus de 19 918 logements complètement
détruits, et 121 300 logements détruits
partiellement, et 114 000 en besoin de
restauration, ainsi que des maisons de culte,
des écoles, des centres médicaux, des ponts et
des routes.
Ceci, en plus d'institutions agricoles, des
pinières, des entreprises d'élevage, des
institutions industrielles, commerciales et
politiques et des multi-transports comme les
voitures et les camions.
En revanche, malgré que le résistant restait à
l'extérieur de sa tanière, et les migrants ne
sont pas retournés encore chez eux , nous
trouvons les résolutions internationales qui
continuent à engendrer une autre attaque, mais
tout cela n’a pas limité la ruée des
Moudjahidines de Jihad al-Binaa, où nous les
trouvons porter leurs chapeaux, et aller en état
d'alerte marquant le début d'une nouvelle ère,
l’ère de construction, de restauration et de
plantation des arbres...
Au Liban, la culture de la faiblesse domina
celle de la force, où les politiciens libanais
ont été célèbres par leur refrain, que la force
du Liban réside dans sa faiblesse, mais après
mi-août 2006, qui a fait rage avec son frère
Juillet afin de produire une nouvelle culture,
étrange pour les politiciens et familiale pour
les Moudjahidines, ceux qui ont été élevés dès
leur jeune âge, à savoir que l'œil résiste à
l'alène et les bras bruns peuvent se permettre
de construire tout ce que l'ennemi détruit, tant
que la vigueur est dominante et l'approche
rayonne.
Ce qui précède n'est pas un slogan pour en
chanter, mais la voie avec une fourche choisie
par les justes, les martyrs et les hommes de
Jihad al-Binaa qui sont un des blocs de pierre
de cette route qui a fourni de ses ingénieurs et
de ses travailleurs des dizaines de martyrs ;
par ceci ils ont construits sur terre pour être
immortalisé aux cieux.
Le début du chemin
Sous
l'effet des principales conséquences de
l'agression sioniste contre le Liban en 1982, et
les effets négatifs de la guerre de l'Intérieur,
la privation s'est réevelée dand les zones
historiquement négligées, en particulier dans la
Bekaa, le Sud et le Nord; les rendant ainsi en
manque du strict nécessaire de la vie ...
Alors il fallait faire un pas étape qui fais
face à toutes les formes de pauvreté et de
privation, afin de réduire les risques de
l'aggravation des effets de la pauvreté et la
misère, en parallèle au grand pas glorieux et
honorable des chers hommes de la Résistance
Islamique confrontant l'ennemi perfide, en
complément aux deux positions et confrontations,
pour avoir un slogan qui est devenu une réalité:
Ensemble nous résistons, Ensemble nous
construisons.
Dans ces circonstances difficiles, l’association
de développement de Jihad al-Bina est née, elle
s'est engagé à travailler dans le développement
de divers domaines, et à éliminer les effets de
l'agression sur le Liban, quelle que soit son
volume, à savoir que l'expérience et la
meilleure preuve.
Une Entrée Et Une Vision
L'assemblée de Jihad al-Bina s’est lancée,
pendant vingt ans, de l'utérus de la souffrance
et de privation, où il y a un manque des
éléments essentiels d'une vie décente pour notre
peuple, à cause du viol de l'ennemi sioniste de
la Palestine, la négligence intentionnelle de
l'État libanais, et l'agression continue
d'Israël, puis vint l'occupation directe en
1982, où l'Assemblée a commencé à installer les
personnes dans leurs terres et empêcher l'ennemi
d'investir les effets négatifs de l’agression
répétée.
Malgré la diversité des entreprises commerciales
en termes de développement, associés aux
priorités et aux besoins des zones cibles et
différentes époques historiques, le but de
l'installation des personnes dans leurs terres
grâce au projet de restauration et d'hébergement
vient toujours comme prioritaire.
La guerre
de Juillet 2006 n’était pas uniquement dure sur
les gens et les arbres, mais sa gravité a
également dépassé ceci pour atteindre la pierre.
La politique de destruction systématique ayant
axé sur les quartiers résidentiels, les
infrastructures et les institutions économiques,
adoptée par la machine militaire de l'ennemi «Israël»,
ainsi l'un des objectifs les plus importants,
était le fait d’inciter l'opinion publique
libanaise contre le Résistance, en particulier
les personnes qui l’ont embrassé au cours des
années, et ceci dès que le citoyen retourne de
son déplacement forcé, pour trouver le fruit de
son âge : sa maison, son magasin ou sa ferme..
tous détruits.
Le but de
cela est de comprendre le contexte qui a poussé
Jihad al-Bina d'intervenir, parce qu'elle croit
que la victoire de la Résistance ne se termine
que par une autre sorte de djihad, qui est
seulement le fait d’adopter les traces de
l'agression, et assurer le retour des habitants
à leurs maisons et villages, ainsi que le retour
du cycle de vie à la normale.
Par
conséquent, et depuis sa fondation en 1988,
Jihad al-Bina a fait face, à plusieurs reprises,
au défi de la reconstructionnotamment après
l'agression israélienne (l’imputabilité) en
Juillet 1993, et malgré le fait que
l'institution était encore jeune, elle a été en
mesure de contourner avec succès l'examen
difficile à traduire bien après l'agression
israélienne (les Raisins de la colère) en avril
1996, mais l'ampleur des destructions de la
guerre de Juillet 2006 a été rude et a dépassé
le record où elle s'est étendue avec les
conséquences même de celle de l’an 1993 et 1996
combinées à plusieurs reprises.
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